Concernant les splashes, j’ai lu que SC utilisait au début des petites cymbales récupérées de batteries pour enfants. Mais cette photo ne date pas du début, puisque Sting en prend pour son grade !
@doume
Truffaz, je l’ai vu récemment en live dans une petite salle, cf le topic sur son batteur (Marc E.).
Tu aurais du venir, tu n’aurais pas dit cette ânerie (provoc ?)

J’ai adoré, et la salle était bondée ; le public avait juste l’air de prendre son pied. Contrat rempli !
Rq : l’envie et la vocation d’un artiste (et on peut élargir à « d’un style de musique ») n’étant cependant pas de plaire à tout le monde (et heureusement…). Pas inutile de le rappeler.
@Lovequest
Pareil : méchant provocateur gratos !

Pontieux (puisqu’on en reparle, et qu’il s’est pris une attaque gratos un peu plus haut) ; je l’ai vu et écouté au baiser salé. Bah j’ai juste beaucoup aimé !! Et je retournerais l’écouter avec plaisir s’il passe par chez moi. Et, donc, il ne m’avait pas semblé avoir un cerveau atrophié.
Pour le reste, et le plus important ; mon avis de batteur « même pas du dimanche » :
Cyra, je suis OK avec tout ce que tu as écrit plus haut.
SAUF ton premier paragraphe.
Sans prétendre qu’on joue comme on est dans la vie (ce qui d’ailleurs ne signifie pas grand chose !), j’aurais juste du mal à apprécier un artiste, comme un ami, en me foutant de sa personnalité et de ses agissements.
Même si j’aurais aussi du mal à parier qu’il n’y a pas un artiste/groupe parmi ceux qui me font vibrer… dont la vie « privée » pourrait me décevoir.
J’insiste sur deux points :
1>
Oui, comme je l’ai écrit plus haut, SC est effectivement un improvisateur génial (sorte de jazzman à pulse/groove rock sur morceaux de rock-punk-reggae principalement écrits par le non moins génial Sting).
Ne pas rejouer ses parties, c’est une des « qualités » que je préfère chez un batteur
(c’est aussi un de mes points communs avec ces grands !). Comme, par exemple (et parce que je l’adore), Gavin Harrison.
Ceci n’étant évidemment pas compatible avec tout type de musique.
Ce qui ne m’empêche pas d’adorer par ailleurs Neil Peart qui, lui, répète à l’identique ses parties et avec un tempo d’acier (bien qu’il se mette lui aussi à l’impro, comme on peut le lire dans une interview récente parue dans Modern Drummer).
2>
Le tempo (quelle transition, non ?) :
Pour moi (i.e. ma sensibilité d’amateur).
Si un batteur ne doit pas massacrer un morceau par plantage de tempo (mauvais tempo = pas adapté au morceau et/ou accélération voire décélération), le foutant ainsi par terre au niveau du groove, ou empêchant ses alcooliques de placer leur parties (comment fait un chanteur si le tempo fait x1,15 ), je refuse l’adage qui consiste à dire qu’un tempo doit être identique sur tout un morceau !
En live, mais aussi en studio, qu’est ce qui empêche le tempo de varier (pas de dériver, de « varier) ??
C’est ça aussi qui peut permettre d’insuffler une pulse, un groove.
Enfin c’est juste mon avis, et ma façon d’aborder les choses.