ArnoJ a écrit :Chouette, une petite couche de théorie du complot ajoutée au déclinisme. J'adore.
Sérieusement, le JT de TF1 n'est pas la meilleure référence pour une approche pragmatique de la linguistique.
Lui préférer une sérieuse bibliothèque universitaire.
My 2 cents
(Vu qu'il y a un message entre le miens et le tiens, je ne sais pas si tu t'adressais directement à moi ou à Drm)
Où ai-je parler de complot ?
Quand le terme "enfumage" est utilisé, Là c'est politiquement correct, ca colle à la République et c'est dans les clous. Mais dès qu'on utilise un autre mot (manipulation, polémique), ou dès qu'on dit que l'enfumage est volontaire (Cites moi un seul cas où il ne l'est pas), on est un conspirationniste, ou un négationiste. Mais si je résume, l'enfumage, C'est une forme de Manipulation !
Désolé de le dire haut et fort : Les politiques ne sont pas là pour le bien être du quidam quelconque que je suis et que nous sommes. Le gouvernement ce n'est pas ta famille, ni ton ami, ni ton tuteur. Je pense que tu es d'accord ?
Alors, pourquoi un président prépare-t-il autant sa réélection ? Dans un but humaniste ? Les moyens pour y parvenir sont ils tous hautement moraux ?
Suffit-il alors de penser cela pour être un conspirationiste ?
Penses-tu que la politique française des 50 dernières années, soit toute blanche ? Qu'il n'y a rien de caché sous le tapis ?
Pour prendre un cas concrêt, demande à ton médecin si le choix entre la convention et les honoraires libres a été un choix simple ou compliqué ? Si il aurait été possible et stratégique de faire l'autre choix ?
Si je dis "coercition", c'est là encore un mot interdit ?
Pour finir je ne vois pas du complot partout. Je ne me définis pas comme complotiste et, je n'ai pas plus de sympathie pour un mec qui va mettre en avant une théorie fausse basée sur des faits mensongers ou détournés afin d'y voir une trace quelconque de complot, que je n'en ai pour le vecteur médiatique de la bienpenssance unique que tu cites dans ton post. Je ne regarde pas la TV.
Enfin, penser différemment nécessite-t-il obligatoirement d'y greffer une étiquette ?
Dans l'affaire, celui qui vient mettre une étiquette, celui qui vient juger l'avis de l'autre, c'est moi ou c'est toi ?
Je sais bien que tout livre est étiquetté dans une bibliothèque, mais pour lui accorder le crédit d'être universitaire, lui faudrait-il encore laisser une place à la démarche noble du "doute" scientifique.
Pinailler sur les accents ne t'offusque pas, les mots en revanche...