Non ! Je n'ai pas parlé de "fuir" la convention, seulement de l'oublier !supraphonic a écrit :Et j'ajoute que la fuite des conventions...c'est une convention.ellipse a écrit :Absolument, rien à redire à ce que tu écris !doume a écrit :Ce qui pour toi est un impératif et peut être une contrainte , est pour d'autre une source de plaisir et de créativitéellipse a écrit :Bien content de ne jouer que de la musique libre... sans impératif de conserver un tempo métronomique et où la seule astreinte est d'oublier la convention...
Et cet oubli, s'il entre dans le cadre d'une convention, n'est jamais qu'une affaire personnelle : et c'est une convention passée avec soi, en rupture respectueuse d'avec les contraintes académiques et stylistiques des conventions objectives.
La norme devient affective, la règle, intime, la loi, unique.
Enfin, et pour revenir à ton affirmation, une "fuite" de la convention n'est jamais une convention fondamentale. Dès lors qu'elle est simplement "fuite de la convention " et que sa dynamique ne s'assortit pas d'une direction définie -fuite de... vers- elle n'est qu'une convention formelle, transitoire et entre dans l'esprit d'un réflexe de défense. Elle procède davantage d'un accord avec soi-même que d'une convention massive.
Encore une fois, toute la différence entre la fuite-de et la fuite-de-vers est à distinguer.