Peter Erskine

[liolio2]

Suis pas un grand connaisseur de ce qu'il a pu faire, en tout cas je l'avais bien aime sur un DVD de David Krall que j'avais vu chez mon frere. Superbe accompagnateur.
En tout cas, j'adore sa methode The Erskine Method for the Drumset, a l'image se son jeu, propre et humble et plus complexe qu'elle en a l'air.

[Bontempix]

On déterre!

En voulant vous poster ça:



Que tout le monde a vu bien entendu mais qui fait quand même bien plaisir de revisionner...

Je suis tombé la dessus:



Qui surement a déjà été posté mais bon...

Sinon voilà à quoi il passe ses dimanches à l'église:

[Geronimo]

Super chouette, merci !

[krikou]

Ça joue velu

[Rolala]

Cette classe

[Adrian Bang]

Toujours aussi fluide Peter, ou comment prendre de l'âge avec grace derrière les fûts.

[Rolala]

Pooooowaaaaaaaa

[Tit']

Pas de topic sur lui? Scandaleux. C'est kwa ç'merdieeeeeer? Ça va pas. Du tout.

Peter Erskine donc, genre de plombier mangeur de champignon posé derrière une batterie et un peu vieilli. Définition wiki de la créature :

"Peter Erskine est un batteur de jazz, né le 5 juin 1954 à Somers Point, dans le New Jersey.

Il a commencé la musique à 4 ans, et sa carrière professionnelle a débuté en 1972 quand il a rejoint l'orchestre de Stan Kenton. Trois ans après, il le quitte pour celui de Maynard Ferguson (où il restera deux ans). En 1978, il rejoint Weather Report. Après 4 ans et 5 albums, il change de groupe et fait désormais partie de Steps Ahead."

Breffe, pour moi un incontournable du son carré et du groove jouissif. Ou l'inverse. Pas de double parradiddle en débit de quintolets de blanches accentué un coup sur 7. Même pas. Si, je vous jure.

http://www.youtube.com/watch?v=SdzweSXO ... re=related On l'aurait préféré sans voix. Mais bon.

Non parce que quand même

rohh justement ça fait un bail que je commence à en avoir ras la casquette de tous ces batteurs qui font des démos de quintuple croches et de tous les trucs possibles et inimaginables, devant les spectateurs ébahis
bon Dieu c'est pas ça la musique

[Mr Confo]

Vu en quartet hier soir au Petit Journal Montparnasse avec le guitariste Nguyen Lê, contrebassiste Michel Benita et saxo Stéphane Guillaume, un toucher de cymbale magnifique, les rivets de sa Left side ride chantent à merveille. Surtout épaté par l'articulation et la dynamique de sa main gauche. Ça groove sobre avec une explosivité jamais excessive, le sourire en permanence, bref un bonheur !
Cerise sur le gâteau, on a causé peaux, sur sa petite Tama hier soir c'était ambassador coated frappe et Fiberskyn en réso GC. Aussi agréable qu'instructif à voir, une référence pour moi depuis plus de 20 ans, qui a pris vie hier soir.

[the italian job]

Quelle chance!
Je n'ai jamais eu la chance de le voir en live mais c'est sur que c'est une référence pour bon nombre d'entre nous.

J'ai par contre eu l'occasion de voir Stéphane Guillaume il y a 3 ans et il m'avait vraiment impressionné. Tu as du passer une belle soirée.

[Mr Confo]

Oui, une soirée magnifique. L'histoire débute il y a 10 jours, mon guitariste me parle du concert de Nguyen Lê qu'il vient de voir au Festival Jazz de La Défense, dans son projet d'arrangements de Pink Floyd, conquis.
2 jours plus tard, j'écoute par hasard TSF jazz qui annonce Erskine et Nguyen le 9 juillet, banco, mon guitariste en quille pour Lê, je lui explique le profil d'Erskine. On n'a pas été déçu, calés au bar à 5 mètres de la scène, pas foule, waouh !
De ce que j'ai pu écouté de Nguyen Lê et ce que connais de Erskine, je dirai que je n'accroche pas toujours facilement sur CD, en fait ils prennent vraiment toute leur dimension live. La décontraction et le plaisir évident de jouer sont pour ces pointures une marque de reconnaissance, ils ne se contentent pas de faire le job, tu sens qu'ils sont au service de la musique sur chaque morceau, l'attention est très élevée malgré la décontraction.
Un de mes meilleurs concerts sans aucun doute, sublimé par l'atmosphère très intimiste et Erskine qui sirote sa bière à côté de toi entre les 2 sets. Et qui se pointe à la pause dans le public ? Daniel Humair...bref pour des jazzeux comme on essaie d'être, juste le pied !