impro et aristote...
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impro et aristote...
bonjour à tous. je ne poste que peu voire jamais sur ce forum, mais je souhaiterais partager avec vous une de mes reflexions et methode utilisé sur certains de mes élèves et moi même...
commencons par le début qui fut la base de cette idée. il est question ici d'obtenir une méthode allant du plus simple au plus complexe pour avancer dans ce monde pénible mais jouissif monde qu'est l'improvisation.
rappellons qu'aristote considérait qu'un tout est constitué d'un début, d'un milieu et d'une fin...ce sera notre base.
imaginez une frise debut--------------------milieu-----------------------fin
il y aura des coups "actif" nous faisant avancer sur cette frise et des coups "réacifs", en réponse aux coups actifs, nous faisant reculer sur cette frise. il est interdit de depasser d'un coté ou de l'autre.
ensuite, à vous de choisir, les coups actifs seront une main droite et les coups réactifs une mains gauche?
en prenant en compte une ostinato en croche sur la charley, l'actif sera la grosse caisse et le réactif sera la caisse claire.
il est aussi possible de garder des claves pieds gauches en 2/3 ou 3/2 (vous connaissez) et admettre que les mains devront suivre le schema ci desssus etc etc etc
exemple une simple papa maman sera imaginé comme suit. dans le cas ou la droite est active et la gauche réactive (on démarre au début, toujours)
mileu>fin>mileu>debut
un moulin
mileu>debut>mileu>fin>mileu>fin>mileu>debut
etc etc etc
tout ca nous permet d'abords d'obtenir une schéma de premier abords simple se complexifiant au fur et à mesure que le tempo augmente, que les actifs et réactifs sont mélangés ou que les débit sont mélangés et aussi de toujours garder une pensée claire de ce que nous jouons.
rappellons qu'un solo improvisé reste une histoire inventé sur l'instant et que toute narration requière une methode.
de plus, il nous est possible de suivre les idées de certains penseurs de la narration comme campbell ou vogler et ainsi allonger ou rétrécir certains acte à notre guise. 2 notes, 3 notes etc
le tout est d'avoir une cadre, de ne pas en sortir...et une fois qu'il est maitrisé faire ce que l'on veut.
et nous voilà avec une infinité de possibilité...let's jam baby !
commencons par le début qui fut la base de cette idée. il est question ici d'obtenir une méthode allant du plus simple au plus complexe pour avancer dans ce monde pénible mais jouissif monde qu'est l'improvisation.
rappellons qu'aristote considérait qu'un tout est constitué d'un début, d'un milieu et d'une fin...ce sera notre base.
imaginez une frise debut--------------------milieu-----------------------fin
il y aura des coups "actif" nous faisant avancer sur cette frise et des coups "réacifs", en réponse aux coups actifs, nous faisant reculer sur cette frise. il est interdit de depasser d'un coté ou de l'autre.
ensuite, à vous de choisir, les coups actifs seront une main droite et les coups réactifs une mains gauche?
en prenant en compte une ostinato en croche sur la charley, l'actif sera la grosse caisse et le réactif sera la caisse claire.
il est aussi possible de garder des claves pieds gauches en 2/3 ou 3/2 (vous connaissez) et admettre que les mains devront suivre le schema ci desssus etc etc etc
exemple une simple papa maman sera imaginé comme suit. dans le cas ou la droite est active et la gauche réactive (on démarre au début, toujours)
mileu>fin>mileu>debut
un moulin
mileu>debut>mileu>fin>mileu>fin>mileu>debut
etc etc etc
tout ca nous permet d'abords d'obtenir une schéma de premier abords simple se complexifiant au fur et à mesure que le tempo augmente, que les actifs et réactifs sont mélangés ou que les débit sont mélangés et aussi de toujours garder une pensée claire de ce que nous jouons.
rappellons qu'un solo improvisé reste une histoire inventé sur l'instant et que toute narration requière une methode.
de plus, il nous est possible de suivre les idées de certains penseurs de la narration comme campbell ou vogler et ainsi allonger ou rétrécir certains acte à notre guise. 2 notes, 3 notes etc
le tout est d'avoir une cadre, de ne pas en sortir...et une fois qu'il est maitrisé faire ce que l'on veut.
et nous voilà avec une infinité de possibilité...let's jam baby !
- Mouton-carnivore
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Re: impro et aristote...
Bonjour Zuzugues
D'autant que, sans vouloir paraitre méchant, ça serait bien de prendre le temps de te relire. Présenter un concept qui semble complexe et fait intervenir des concepts philosophiques tout en gardant des erreurs de typos n'aide pas à la lecture/compréhension du truc...
Du style:
Bref, si tu peux nous (me ?) ré-expliquer calmement ça serait sympa !
Rajouter un exemple d'orchestration sur, par exemple:
mileu>debut>mileu>fin>mileu>fin>mileu>debut
Un exemple d'application musicale ?
Aller un peu plus loin dans l'implication de Campbell et Vogler ?
Ca me semble mal parti, je n'ai rien compris à ton concept...zuzugues a écrit :toujours garder une pensée claire de ce que nous jouons.
D'autant que, sans vouloir paraitre méchant, ça serait bien de prendre le temps de te relire. Présenter un concept qui semble complexe et fait intervenir des concepts philosophiques tout en gardant des erreurs de typos n'aide pas à la lecture/compréhension du truc...
Du style:
zuzugues a écrit :pour avancer dans ce monde pénible mais jouissif monde qu'est l'improvisation.
Bref, si tu peux nous (me ?) ré-expliquer calmement ça serait sympa !
Rajouter un exemple d'orchestration sur, par exemple:
mileu>debut>mileu>fin>mileu>fin>mileu>debut
Un exemple d'application musicale ?
Aller un peu plus loin dans l'implication de Campbell et Vogler ?
zuzugues a écrit : rappellons qu'un solo improvisé reste une histoire inventé sur l'instant et que toute narration requière une methode.
de plus, il nous est possible de suivre les idées de certains penseurs de la narration comme campbell ou vogler et ainsi allonger ou rétrécir certains acte à notre guise. 2 notes, 3 notes etc
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Re: impro et aristote...
je suis très content que tu te soies exprimé ici, zuzugues: je me sens un peu moins seul; ça me ramène à une période ou j'expliquais clairement des choses évidentes, simples et basiques auxquelles personne n'entravait rien, et si ça peut te rassurer, moi qui pratique l'impro dans des domaines aussi variés que la gastronomie, l'occurence sonore, le passage d'aspirateur ou la félixolalie, comme Mouton Carnivore, je n'ai rien compris: qu'est-ce par exemple que le début d'un moulin? le milieu, etc ????
échangerais tu un Campbell contre deux Vogler? quel en est le milieu, ou est la récurrence?
allez: tu nous prends par la main et tu montres un peu plus dans la forme et moins dans un fond dont l'obscurité nous éblouit.
échangerais tu un Campbell contre deux Vogler? quel en est le milieu, ou est la récurrence?
allez: tu nous prends par la main et tu montres un peu plus dans la forme et moins dans un fond dont l'obscurité nous éblouit.
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Re: impro et aristote...
Ta frise et le déplacement du curseur sur celle-ci dans les exemples que tu donnes me fait penser à la vision "pendulaire" du rythme des gnaouas (quand pour ma part je visualise des cercles, à minima des courbes).
Majyk Oyster a écrit :Ne rien foutre ça peut faire progresser. Après c'est mieux de l'intercaler entre des périodes de travail qu'entre deux périodes de rien foutre.
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Re: impro et aristote...
J'ai lu, relu et rerelu.
Le papa maman,juste ça comme apéro.
milieu>fin>milieu>début, pourquoi ne commence-t-on pas par, début?
Rien que d'expliquer ça, hein ?
Merci
Le papa maman,juste ça comme apéro.
milieu>fin>milieu>début, pourquoi ne commence-t-on pas par, début?
Rien que d'expliquer ça, hein ?
Merci
- soft
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Re: impro et aristote...
curieux je suis allé voir ce que pouvait dire Vogler, et franchement les bras m'en tombent:
TASTE IN MUSIC
By LAWRENCE OILMAN
IF all diacuasioQS of taste are relatively unavailing, it is es-
pecially futile to discuss Taste in Music; because, in a sense,
there is no such thing. I mean by Taste, of course, that
instinctive perception of aesthetic excellence which, in the case
of a man of Uterary inclinations, will inevitably dispose him
toward M. RoUand'a Jean-Ckrislophe and as inevitably indispose
him toward Mrs. GljTi's Three Weeks. And there at once I
hare indicated, I think, the singular extent to which the art of
music, in this as in all respects, stands apart from the othec arts.
When you speak of Taste in Literature, or Taste in Painting,
or Taste in Drama, you imply a general and instinctive recog-
nition of conformity to an ascertainable ideal. Among connois-
Kora of litOArjr art there would be no diBssit from the judgement
that places amoog the ezcellbig achieremeata of poetic inspiration
«wh ft thing as this;
Dealh, that luth nnkei] tlig himef of tfay bnatk . .
or sac^ ft thing bs this:
He bath mkeneil bum lbs dnud ul Uc. . .
Tbm nmiiaa bloami «nd wHhtn on tb« UU
like anr himUnret: and tlic nofakit troth
Did hen to dntt . .
Bon valà, quoi; seules les trois dernières lignes ont un sens, sinon le reste
donne nous des clés.
Quand tu dis: " toute narration requière une methode.", est-ce que ta méthode inclut l'apport d'éléments extérieurs imprévisibles? et la façon de les traîter?
j'ai justement réécouté hier soir une impro que j'ai faite avec des danseurs, en interaction "temps réél", je vois mal comment organiser une réflexion cohérente sur un présent aussi stable que du pop corn micro-ondes.
TASTE IN MUSIC
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IF all diacuasioQS of taste are relatively unavailing, it is es-
pecially futile to discuss Taste in Music; because, in a sense,
there is no such thing. I mean by Taste, of course, that
instinctive perception of aesthetic excellence which, in the case
of a man of Uterary inclinations, will inevitably dispose him
toward M. RoUand'a Jean-Ckrislophe and as inevitably indispose
him toward Mrs. GljTi's Three Weeks. And there at once I
hare indicated, I think, the singular extent to which the art of
music, in this as in all respects, stands apart from the othec arts.
When you speak of Taste in Literature, or Taste in Painting,
or Taste in Drama, you imply a general and instinctive recog-
nition of conformity to an ascertainable ideal. Among connois-
Kora of litOArjr art there would be no diBssit from the judgement
that places amoog the ezcellbig achieremeata of poetic inspiration
«wh ft thing as this;
Dealh, that luth nnkei] tlig himef of tfay bnatk . .
or sac^ ft thing bs this:
He bath mkeneil bum lbs dnud ul Uc. . .
Tbm nmiiaa bloami «nd wHhtn on tb« UU
like anr himUnret: and tlic nofakit troth
Did hen to dntt . .
Bon valà, quoi; seules les trois dernières lignes ont un sens, sinon le reste
donne nous des clés.
Quand tu dis: " toute narration requière une methode.", est-ce que ta méthode inclut l'apport d'éléments extérieurs imprévisibles? et la façon de les traîter?
j'ai justement réécouté hier soir une impro que j'ai faite avec des danseurs, en interaction "temps réél", je vois mal comment organiser une réflexion cohérente sur un présent aussi stable que du pop corn micro-ondes.
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- Mouton-carnivore
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Re: impro et aristote...
On pourrait aussi s'inspirer d'Eddy Malou !
Re: impro et aristote...
je souhaitais juste partager une méthode qui a fonctionné sur moi et mes élèves.
visiblement le ton n'est pas à la discussion entre batteurs passionnées mais plutôt au matraquage en règle.
je demande la fermeture ou le blocage du topic.
merci.
visiblement le ton n'est pas à la discussion entre batteurs passionnées mais plutôt au matraquage en règle.
je demande la fermeture ou le blocage du topic.
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Re: impro et aristote...
Tout de même, avant la fermeture du dit sujet:
Si c'est la vidéo d'Eddy Malou qui t'a vexé, je m'en excuse. Très honnêtement je l'ai mise en clin d’œil à la citation absconse postée par Soft juste au dessus.
Pour le reste, Dream Drummer semble t'avoir suivi et a proposé sa vision du truc (je te rassure, je n'ai pas compris de quoi il parlait non plus ), et les autres (dont moi) t'ont demandé des précisions. Je ne vois donc pas de matraquage, mais bel et bien une certaine curiosité face à ton explication...
Alors, certes, on chambre un peu, gentiment me semble-t-il, parce qu'on n'y a pas compris grand chose, mais il ne me semble pas que l'on se soit fermé.
Après, s'il faut, face à un texte visiblement incompréhensible de tout le monde (sauf Dream Drummer) faire preuve d'un respect religieux parce qu'il y a eu du "name-dropping" de philosophes, alors...
Si c'est la vidéo d'Eddy Malou qui t'a vexé, je m'en excuse. Très honnêtement je l'ai mise en clin d’œil à la citation absconse postée par Soft juste au dessus.
Pour le reste, Dream Drummer semble t'avoir suivi et a proposé sa vision du truc (je te rassure, je n'ai pas compris de quoi il parlait non plus ), et les autres (dont moi) t'ont demandé des précisions. Je ne vois donc pas de matraquage, mais bel et bien une certaine curiosité face à ton explication...
Alors, certes, on chambre un peu, gentiment me semble-t-il, parce qu'on n'y a pas compris grand chose, mais il ne me semble pas que l'on se soit fermé.
Après, s'il faut, face à un texte visiblement incompréhensible de tout le monde (sauf Dream Drummer) faire preuve d'un respect religieux parce qu'il y a eu du "name-dropping" de philosophes, alors...
- soft
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Re: impro et aristote...
je ne vois pas non plus de matraquage: juste je ne comprends pas une maieutique qui demanderait des exemples moins généraux et plus explicites et quand j'essaie de me renseigner sur les personnages que tu cites je tombe sur un texte abscons.
je ne suis pas certain que la référence de Dream Drummer aux cycles pendulaires Gnawa soit une illustration de ton propos: à toi de valider ou d'infirmer.
Quand j'ai essayé de convertir mes co-religionaires à la simplicité des systèmes indiens je me suis heurté à la même incompréhension. J'ai pratiqué l'improvisation sauvage depuis 1966 et l'improvisation raisonnée en musique avec Barre Phillips et pendant de nombreuses années en tant que partenaire de Claire Filmon (1983-2015)
toute approche de ce domaine m'intéresse naturellement, la tienne incluse, mais apparemment tu n'as pas su te rendre compréhensible à travers ton premier texte: assume le et ne prends pas l'incompréhension générale pour un bashing déplacé.
je ne suis pas certain que la référence de Dream Drummer aux cycles pendulaires Gnawa soit une illustration de ton propos: à toi de valider ou d'infirmer.
Quand j'ai essayé de convertir mes co-religionaires à la simplicité des systèmes indiens je me suis heurté à la même incompréhension. J'ai pratiqué l'improvisation sauvage depuis 1966 et l'improvisation raisonnée en musique avec Barre Phillips et pendant de nombreuses années en tant que partenaire de Claire Filmon (1983-2015)
toute approche de ce domaine m'intéresse naturellement, la tienne incluse, mais apparemment tu n'as pas su te rendre compréhensible à travers ton premier texte: assume le et ne prends pas l'incompréhension générale pour un bashing déplacé.
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Re: impro et aristote...
Je confirme que ton premier message est confus et je ne comprends pas où tu veux en venir... essaies d'être plus clair que l'on puisse t'apporter une réelle réflexion.
illustrasons
“Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière.” Michel Audiard
“Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière.” Michel Audiard
- Dream Drummer
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Re: impro et aristote...
L'exemple du papa-maman m'y a simplement fait penser, d'autant qu'il n'y a pas très longtemps que l'un d'entre eux m'a partagé cette approche "pendulaire" (une nécessité dans ce style, même, d'après lui). De là à dire que ça illustre avec à-propos la visée du post initial, ce n'est pas à moi d'en décider effectivement.soft a écrit :je ne suis pas certain que la référence de Dream Drummer aux cycles pendulaires Gnawa soit une illustration de ton propos: à toi de valider ou d'infirmer.
Après les références données sont hors de ma portée et j'avoue que je suis curieux d'avoir plus de détails.
Majyk Oyster a écrit :Ne rien foutre ça peut faire progresser. Après c'est mieux de l'intercaler entre des périodes de travail qu'entre deux périodes de rien foutre.