Comme promis, des tofs de la bête (sur son magnifique pied Olympic d'époque).
On devine aussitôt que l'ancien proprio était un poête, à voir comment la peau de frappe a été bichonnée.
Et encore la photo ne fait pas justice au vrai relief de la peau...
Et maintenant, la bête sur le dos: C'est là que ça se corse...
Ce qui frappe tout de suite, c'est le côté allemand:
- Découpe du fût à la baillonette de la bataille de Sedan,
- Mauser C96 pour les avant-trous du déclencheur (manquant).
On voit même les stigmates d'une balle perdue près du chanfrein.
J'ai pas encore regardé l'état du chanfrein côté frappe, mais ça s'annonce épique...
Bref, elle a tout d'une grande.
Et dire que certains emballent le Livarot avec ça, nan mais j'vous jure...