), j'ai tout poncé à la vibrante, P60 puis P120, ensuite à la main, P280 et P400, et enfin, cinq passes d'huile de lin pour nourrir ce bois qui pompait à mesure... J'ai pu rattraper l'immense majorité des traces de papier de verre (perpendiculaires au fil, pour rappel) laissées par un ancien proprio peu au fait de la chose, donc, on va dire que la mission est accomplie !
On partait donc de ça (avec un vernis coloré mais que j'aimais pas)
Et on arrive à ça :
L'huile de lin, c'est assez génial : ça ne pue pas la mort, ça s'applique au pinceau comme un goret, ça sent bon et tu nettoies ton matériel avec du savon...
En terme d'esthétique, c'est évidemment à chacun ses goûts ; perso, j'adore cet aspect satiné et couleur miel (en vrai, il est un poil plus foncé, j'ai pris des photos vite fait dehors avant qu'il ne pleuve). L'huile fait également très bien ressortir la profondeur du bois, ça lui donne un aspect en relief très agréable et flatteur, je trouve !
J'attends un pack de peaux Evans Calftone pour l'habiller au mieux en frappe, je pense que "le" son vintage est à ma portée...
