j'ai toujours bien aimé mettre mes doigts dans le pot de confiture et faire pouet pouet sur des synthés à l'occasion. c'est goûteux; le seul gros problème c'est que quand les nouvelles machines sortent elles coûtent la peau de trois khouyes: ça calme le jeu d'entrée; comme "avec le temps va tout s'en va", le désir s'estompe, et le prix d'icelui en fait autant; à la fin des années 90's, un Korg 01Wfd ne coûtait pas moins de 3480€: super qualité sonore, robustesse, hyper éditable, bonheur, quoi.
Près de cheumoué un mec en vendait un pour 150 boulons; juste une pile CR2032 à changer (0,50€) et le rétro-éclairage(40€) à réactualiser, si on veut travailler dans le noir, mais on peut s'en passer, ça marche très bien sans ça.
Si je m' ai pas planté dans la règle de trois, le beau synthé des nineties ne vaut plus que 4% de sa valeur initiale, et les sons ont toujours la brillance et le poil lisse qui vont bien. en 27 ans on a perdu 96% de désir: plus de 3% de désir en moins chaque année: presque autant que chez papi et mamie !
très content de ce compulsif achat; prochain craquage un Kurzweil K2000, mais ça va être plus chaud, je sens.
désir et volatilité
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désir et volatilité
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Re: désir et volatilité
Faut foncer sur les ex haut de gamme des 90s : ça va pas tarder à recoter ces machins.
Cf les prix que sont en train d’atteindre tous les machins à synthèse FM type DX7.
Y a 10 ans, les types te payaient pour que tu les débarrasses.
Kurzweil, ça décote peu en revanche : beau défi.
Cf les prix que sont en train d’atteindre tous les machins à synthèse FM type DX7.
Y a 10 ans, les types te payaient pour que tu les débarrasses.
Kurzweil, ça décote peu en revanche : beau défi.
Qui tente n'a rien.