Asba : le mystère du retour ?
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Re: Asba : le mystère du retour ?
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Re: Asba : le mystère du retour ?
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Et bien si, justement...à celles et ceux qui ont acheté des batteries Asba. Pour preuve certains peuvent ne pas apprécier que tu les traites de moutons.l'ancien a écrit :
-tu noteras que je n'ai manqué de respect à personne ici
Et si ce forum ne te convient pas, la porte est la même que celle de l'entrée. Ce ne sont pas tes contributions qui manqueront à la communauté.
Ben c'est pas les infos qu'on a...et tu m'appelles pas Alex s'il te plait Gauthier. Merci.l'ancien a écrit : -Alex tu m'as déja fais le coup et je t'ai déja répondu que je n'ai rien à voir avec ces baltringues de près comme de loin et mes frustrations concernent uniquement ce revival foireux comme la plupart de ceux qui lisent ces lignes!
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soft a écrit : une cymbale neuve s'achète après avoir été essayée, une cymbale vintage s'essaye avant d'être achetée.
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Elle est quand même un peu lourde, non ? Par rapport à une Camco ou une SpeedKing, c’est un camion, je trouve. Pour comparer avec l’existant de l’époque s’entend. Mais, techniquement, c’est la mieux conçue, la plus facile à démonter / remonter, tout ça.soft a écrit :tout à fait d'accord: le réglage de tension de ressort, bien accessible et le positionnement des broches pour angler la semelle, les deux vis de serrage, la robustesse de la semelle, la possibilité de fixer le talon avec des clous, les deux piques rétractables: elle était très bien, cette pédale.bsh21 a écrit :
Je ne saurai dire si c'était une exclu ASBA mais le serrage sur le cercle de GC par des manettes sur le dessus était, en tout cas, une particularité bien pratique
Simple et solide, ça faisait bien le taf.
(Oui, je passe outre les échanges déplacés en souhaitant qu?ils soient... déplacés, hu hu)
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Effectivement, c'était plutôt l'inverse des pédales que tu cites réputées, à l'époque, pour leur légèreté et vélocité. Davantage pour les "bourrins" de la GC comme celui que j'étais alors... son côté robuste rassurait justement ceux qui avaient le pied très lourdboomfred a écrit : Elle est quand même un peu lourde, non ? Par rapport à une Camco ou une SpeedKing, c’est un camion, je trouve. ...
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Re: Asba : le mystère du retour ?
une camionette, on va dire, et si la speeed king était déjà la, la Camco (Tamco) est arrivée beaucoup plus tard. n'empêche qu'on s'extasiait tous sur sa souplesse et sa robustesse, qui convenaient bien aux besoins du heavy metal.bsh21 a écrit :Effectivement, c'était plutôt l'inverse des pédales que tu cites réputées, à l'époque, pour leur légèreté et vélocité.boomfred a écrit : Elle est quand même un peu lourde, non ? Par rapport à une Camco ou une SpeedKing, c’est un camion, je trouve. ...
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Il faudrait quand même que j'en essaie une un de ces 4...ça fait 30ans que je joue sur une camco...
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soft a écrit : une cymbale neuve s'achète après avoir été essayée, une cymbale vintage s'essaye avant d'être achetée.
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Peut-être la lourdeur que vous évoquez concerne-t-elle la masse de fonderie de la potence?bsh21 a écrit :Effectivement, c'était plutôt l'inverse des pédales que tu cites réputées, à l'époque, pour leur légèreté et vélocité. Davantage pour les "bourrins" de la GC comme celui que j'étais alors... son côté robuste rassurait justement ceux qui avaient le pied très lourdboomfred a écrit : Elle est quand même un peu lourde, non ? Par rapport à une Camco ou une SpeedKing, c’est un camion, je trouve. ...
Pour l’avoir jouée il y a quelques temps, et la regretter aujourd’hui, je ne dirais pas qu’elle est lourde, mais tout le contraire. C’est la pédale offrant la sensation la plus directe et sensitive que j’ai connue, idéale pour jouer jazz ou acoustique. C’est très spécial, et pas du tout « mécanique » comme conception et comme sensation au pied. Avec une Asba Caroline, pour transcrire cette sensation de « c’est le pied que joue, pas la pédale », j’avais envie de jouer pieds nus, et on peut jouer avec une pression du bout des orteils.
Il y a au moins un élément qui n’existe que sur cette pédale et qui est à mon avis décisif : la semelle est reliée à ses deux extrémités par des articulations souples, et même textile pour le talon, pas par des axes et roulements. Du coup, la semelle peut faire une chose unique, se tordre légèrement sous le pied dans l’axe longitudinal. Les mouvements sont donc plus libres. Rien à voir avec une DW, ou toute pédale moderne, ni même une camco, qui sont en revanche, à mon avis toujours, bien plus efficaces qu’une Asba pour « frapper » et « écraser ».
C’est une pédale unique, mais pas universelle pour moi, je n’aurais jamais emmené la Caroline à un set de rock, variétés et quand je l’emmenais pour un set acoustique, j’avais toujours une pédale moderne de secours!
- boomfred
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Re: Asba : le mystère du retour ?
J’entends lourde sous le pied, pas lourde sur la balance. Je lui trouve beaucoup d’inertie.
Les goûts, les couleurs, tout ça.
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Oui oui, mais c’est tout de même étrange ce que tu décris, tu n’avais peut être pas le ressort d’origine et les roulements étaient peut-être sales ou usés, parce que tout de même ce que j’ai observé est le contraire de « lourd, inertiel ». Par exemple, une DW 5000 avec la batte bien lourde et en bout de tige, c’est très inertiel comme sensation (mais très efficace pour enfoncer les temps).boomfred a écrit :J’entends lourde sous le pied, pas lourde sur la balance. Je lui trouve beaucoup d’inertie.
Les goûts, les couleurs, tout ça.
Ca mérite que tu réessayes une Caroline à l’occasion.
- boomfred
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Je l’ai toujours, je l’ai nettoyée et tout, les ressorts fonctionne, tout bien. Je l’avais remisée, je l’ai ressortie quand j’ai vu que la Speed King était idéale sur les gros fûts, mais prrt.
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Hello
Bon plusieurs mois après les erreurs sur le site sont toujours là...
Par exemple le pied de caisse claire c'est à priori Leedy qui semble le premier responsable en 1898...
Va falloir leur dire non ?
J'y pense mais pour le coup il faut que je prenne le temps de réécrire tout ça ...
Cela me démange tout de même un peu car perso je trouve ce projet de renaissance ASBA plutôt sympa et au delà de l'histoire, ils doivent avoir un paquet de choses à penser... Le Namm show tout ça...
Bon plusieurs mois après les erreurs sur le site sont toujours là...
Par exemple le pied de caisse claire c'est à priori Leedy qui semble le premier responsable en 1898...
Va falloir leur dire non ?
J'y pense mais pour le coup il faut que je prenne le temps de réécrire tout ça ...
Cela me démange tout de même un peu car perso je trouve ce projet de renaissance ASBA plutôt sympa et au delà de l'histoire, ils doivent avoir un paquet de choses à penser... Le Namm show tout ça...
soft a écrit :
Une légende
née en 1927
Vous souvenez-vous de l'histoire Asba ? Tout commence en 1927 à Limeil Brévannes en Région Parisienne. Alfred Boudard, musicien dans le grand orchestre de Jacques Hélian et bricoleur de génie, se construit un support pour poser son instrument entre deux répétitions... Le premier "stand" de l'histoire de la musique était né ! Et avec lui, la grande aventure Asba.
Portnawaque: en 1922 Ludwig proposait déjà plusieurs modèles de stands de caisse claire: tout est fake et auto délirant;
tout n'irait pas si mal si l'orchestre de Jacques Hélian n'avait pas été fondé en septembre 1938 "
"le 20 septembre 1938 : l'orchestre "Scandale, Direction Jacques Hélian" naissait. Hélas, le 27 mars 1939, Jacques Hélian doit rejoindre le 5e R.I. La guerre est déclarée le 3 septembre. Le 15 mai 1940, Gudérian perce à Sedan. La retraite commence pour l'unité de Jacques Hélian le 9 juin. Il est fait prisonnier, le samedi 15 juin, dans la forêt d'Othes. Alors, il sera l'un des prisonniers qui en triste cortège remontent à pied vers les camps et les stalags... Jacques Der Mikaëlian sera le Matricule 16116 du Stalag VI F à Bathorn en Allemagne...
Il est rapatrié sanitaire et démobilisé le 3 mars 1943"
donc en fait la réalité de Hélian commence à la fin de la guerre, soit quinze bonnes années plus tard que ne le voudraient les Lyonnais.
les bras m'en tombent: quand je vois ce niveau d'indigence et de bourdes plus grosses que la tour Montparnasse !
et, bien sur, le site d'origine "ASBA canal historique" est toujours au mitard: c'est pitoyable.
De l'oreille au geste... Du geste à l'oreille...
http://www.jazz-band.fr
le musée virtuel des vieilles batteries sur la drummerie :
http://www.ladrummerie.com/viewtopic.php?t=17648
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- Tama
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Note officielle ou pas, mais sur le dernier Batteur magazine, ils disent que les fûts Asba sont d'origine italienne.
- soft
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Alors que de source "autorisée" , les fûts auraient un parfum des pays de l'est. Pourquoi tant de mystères ?!Tama a écrit :Note officielle ou pas, mais sur le dernier Batteur magazine, ils disent que les fûts Asba sont d'origine italienne.
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- Tama
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Re: Asba : le mystère du retour ?
Oui c'est curieux, dans l'article de Batt Mag, ça a l'air d'être un fait acquis que les fûts sont italiens.soft a écrit :Alors que de source "autorisée", les fûts auraient un parfum des pays de l'est. Pourquoi tant de mystères ?!Tama a écrit :Note officielle ou pas, mais sur le dernier Batteur magazine, ils disent que les fûts Asba sont d'origine italienne.
Du reste, qu'est-ce que c'est mal écrit ces magazines, on ne m'y reprendra plus : articles vides, mal écrits, franglais à la c... un peu partout...
Nul.
Et aussi parfois des âneries (j'avais notamment lu que les Tama Superstar avait toujours été en Érable, ou que la fonction d'étouffement de crash sur une électro n'était pas indispensable....)
Bref je ne porterai pas non plus bcp de crédit aux articles (mal) rédigés de Batt Mag. C'est juste que ça m'a interpellé vu le mystère idiot qui flotte autour des fûts Asba.