Je crois que tu as effectué une lecture trop "impulsive" de mon message : il y a cete fameuse conjonction "ou" que tu sembles négliger. Elle indique une proposition alternative... c'est bien ce que j'écrivais : mon cher Bongo, tu es trop impulsif, prends le temps de lire mon texte avant de conclureBongo Kaiser a écrit :Hallucinant. Si on casse son matos, c'est donc que l'on est affecté d'un état psychique et émotionnel abolissant notre discernement ... Cela ne peut donc aucunement être fait volontairement par un être en pleine possession de ses moyens ? Cela s'étend t-il à l'ensemble de l'art ? (tu ne dois pas être un fan de Pierre Pinoncelli toi) Cela s'étend t-il à toute forme de destruction ? Elles seraient le fait de déments ? Dans le genre synthèse nuancée, on a vu mieux.ellipse a écrit :bien au contraire : détruire son moyen d'expression relève plus d'un état émotionnel défaillant ou d'une tentative visant à faire dans le spectaculaire que d'un acte musical authentique.
Ah, l'impulsivité à fleur de ligne !Bongo Kaiser a écrit :2) Où as-tu vu quelqu'un soutenir que l'acte de destruction était à lui seul "créatif" ? Toi, en revanche tu isoles cet acte de toute la globalité d'une démarche (ou de toute spontanéité) pour aboutir à la conclusion suivante, englobant la démarche elle même : ça n'est pas de l'art ! Je trouve ça fort.ellipse a écrit :Après, m'objectera-t-on, chacun fait ce qu'il veut de son propre matériel... effectivement. Mais bon... ce type de destruction me semble bien vain et ne saurait, à mon sens, se substituer judicieusement à la beauté d'une création artistique...
Ai je écrit que l'acte de destruction est à lui seul créatif ?
Et oui, j'isole ce qui me semble être anesthétique de que qui me paraît relever de l'art. C'est mon point de vue, visiblement pas le tien. Ou est le problème ? Ma conviction n'est pas la tienne, tout simplement !