ASBA SSSSTORY
- loudvig
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"Bonbon" était un percussionniste cubain installé en France .
il a collaboré avec A Boudard et J Perin pour le développement des bongoes et autres percus en vogue en ces temps de cha-cha, meringue et autres danses caraïbéennes
il a collaboré avec A Boudard et J Perin pour le développement des bongoes et autres percus en vogue en ces temps de cha-cha, meringue et autres danses caraïbéennes
...............o0o................
Ludwigoïnomane,Deumilledoïnomane......for ever !!!!!
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- matb5
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- Localisation : Columbus, OH
Un petit message qui ne sert pas a grand-chose (peut-etre meme pas a faire avancer le schimili... le schiminimi...).
Je regarde peinard ce grand classique qu'est "Le Samourai" (Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon), ambiance polar americain a Paris, Delon joue un tueur professionnel solitaire au sang froid (un samourai, quoi). Et ca se passe autour d'un club de jase chicos, classique du genre et de l'epoque, avec la necessaire quoiqu'originale chanteuse/pianiste charmante et envoutante, voire troublante (mais c'est le but). Derriere, les gusses s'affairent tout en volupte sur les contrebasse et batterie respectives. Le batteur chaloupe sur son beau petit kit tout en silver parkle qui miroite sous les lumieres de la scene... et la, eh oui, le fameux logo marque-losange (j'ai du stopper, rewinder, pauser et zoomer avec le dvd, ma femme a moyennement apprecie et a trouve que j'etais vraiment pas bien). Tres tres beau kit Asba version jazz, ca donne envie.
Voila, c'est tout, je vous avais prevenus.
Je regarde peinard ce grand classique qu'est "Le Samourai" (Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon), ambiance polar americain a Paris, Delon joue un tueur professionnel solitaire au sang froid (un samourai, quoi). Et ca se passe autour d'un club de jase chicos, classique du genre et de l'epoque, avec la necessaire quoiqu'originale chanteuse/pianiste charmante et envoutante, voire troublante (mais c'est le but). Derriere, les gusses s'affairent tout en volupte sur les contrebasse et batterie respectives. Le batteur chaloupe sur son beau petit kit tout en silver parkle qui miroite sous les lumieres de la scene... et la, eh oui, le fameux logo marque-losange (j'ai du stopper, rewinder, pauser et zoomer avec le dvd, ma femme a moyennement apprecie et a trouve que j'etais vraiment pas bien). Tres tres beau kit Asba version jazz, ca donne envie.
Voila, c'est tout, je vous avais prevenus.
"[J'ai] le rythme dans le sang, dommage que [j'aie] une mauvaise circulation" (honteusement pique a Alan Fatras)
- drumhand
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Aline, reviens!!!
Steve Argüelles le batteur acutel de Christophe joue sur une belle altuglass
Faut il du matos vintage pour jouer avec un chanteur vintage?
Faut il du matos vintage pour jouer avec un chanteur vintage?
Envoyé de mon Bi-Bop.
- matb5
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- Inscription : mar. 16 oct. 2007, 14:45
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Re: Aline, reviens!!!
Argüelles est un iconoclaste. Avant Christophe, il y avait Katerine (avec son compere, l'excellent Benoit Delbecq au piano - le Katerine de la grande epoque, avant qu'il ne se prenne au piege dans son propre personnage, si drole soit-il), et avant, les Recyclers, avec Delbecq et l'experimental (et tout aussi excellent) Noel Akchote.drumhand a écrit :Steve Argüelles le batteur acutel de Christophe joue sur une belle altuglass
Faut il du matos vintage pour jouer avec un chanteur vintage?
Ne te laisse pas "tromper" par le cote vintage (de la batterie ou du chanteur), son approche de la percussion ne l'est pas tant que ca... la derniere fois que je l'ai vu jouer (il y a quelques annees), il couple sa batterie avec tout un appareillage electronique lui permettant notamment de produire des boucles, triturer les sons en direct, etc. On voit d'ailleurs un bout de machin pres de son hi-hat.
Belle batterie, cela dit.
"[J'ai] le rythme dans le sang, dommage que [j'aie] une mauvaise circulation" (honteusement pique a Alan Fatras)
Entretient avec Marc Perrin, la suite
De passage à la Bag hier après midi, j'en ai profité pour cuisiner Monsieur Marc Perrin qui est toujours aussi étonné que quelqu'un s'intéresse à ces vieilleries. Lui en tout cas, n'a aucune nostalgie de l'épopée Asba (et celà en est tout à fait dommage, car ils ont poubellé il y a quelques années, ce qu'il restait du stock Asba qui encombrait l'entrepot de la Bag').
Le personnage est tout à fait charmant, disponible et n'est pas avare en anecdotes. Nous n'avons pu discuter que pendant une grosse 1/2h car il a du retourner à ses chers clients ("j'veux une peau de CC pour frapper comme une bête", "vous avez les même baguettes que le batteur de Tokyo Hotel?")
Voici donc quelques uns de ses souvenirs:
- chacun sait que la marque s'est créée autours des accessoires : pieds pour violon, clarinette, sax dans les années 20. M.Boudard était multi instrumentiste (violon, sax, clarinette) dans un grand orchestre de l'époque et avait besoin de pouvoir poser ses instruments lorsqu'il en changeait. Les premiers supports Asba étaient en bois, puis en métal. L'activité "batterie" n' a commencé que vers 1947 lorsque le directeur de conservatoire de percussions de Paris a commandé une CC destinée à récompenser le premier prix (il y avait très peu de matériel importé à l'époque)
- au plus fort de la production l'usine comptait 50 employés.
- dans les années 60, il y avait encore une grosse part d'artisanat : les mailloches étaient fabriquées par Madame Perrin à la maison, pendant que le jeune fils pesait les balais pour les appareiller ou fabriquait des cloches à l'usine pendant ses vacances
- tout était fabriqué sur place. L'usine disposait de sa propre fonderie pour les cercles et les accastillages. Ce qui explique à mon avis la qualité inégale de certaines pièces qui étaient coulées avec un alliage de zamac pas toujours de grande qualité ou bulles d'air dans le métal. C'est seulement dans les 70's, le gros boum de la marque que la production des coquilles a été "délocalisée" dans le Jura; passant d'une fabrication par coulage du métal à une fabrication par injection dans un moule (meilleure stabilité du résultat)
- tous les kits étaient assemblés (4h de main d'oeuvre) et réglés (et oui!) avant emballage et expédition. De l'artisanat je vous dis.
- les futs : comme nous le savons tous, étaient fabriqués en contre-plaqué d'okoumé. La matière brute était achetée par plaques de 6mm pour les tom et 8mm pour les GC. Les planches étaient juste trempées dans l'eau avant d'être placées dans les moules. Parfois, lorsque le temps était très sec, le bois était assoupli par un chauffage au chalumeau avant d'être mis en moule pour éviter que les fibres ne se cassent.
- le rhodoïd était fabriqué par l'usine Rhone-Poulenc d'Ivry/Seine. Il y a même eu une expérience de batterie recouverte de formica (bien plus épais) pour un kit destiné à Elvin Jones avec lequel il a joué 4 ans environ
- les tirants étaient tournés dans de l'acier doux puis chromés. Le pas était de 100 pour un diamètre de 6mm. D'après M.Perrin, ils étaient initialement à 1 fente et sont passés ensuite à 2 fentes jusqu'à la fin de la production. Date de bascule inconnue (début 70 selon lui mais j'ai un kit de 74 ou tous les tirants sont à 1 fente)
- les CC métal qui équipaient les kits "standards" avaient toutes le chanfrein en jonc de caoutchouc. Ce qui n'était pas le cas des Super Revelation (en cuivre repoussé chromé) qui ont continué à être produites pour le haut de gamme de la marque
- lors du grand succès de Martin Circus (tube "je m'éclate au Sénégal" en 72) , ASBA a fait imprimer, avec la maison de disque Vogue, 10000 sacs de plage en plastique avec "Martin Circus s'éclate avec Asba" au recto et "Martin Circus s'éclate avec Vogue" de l'autre coté. Un collector de plus à rechercher
- la pédale Asba Tempo est issue de la collaboration avec Armand Molinetti
- avec l'arrivée de la Caroline, Marc Perrin est parti faire la tournée des grands magasins de musique aux USA pour la vendre. A son premier voyage il a réussi à en placer quelques centaines. Par la suite elle fut distribuée également par Remo. Le succès de la pédale a été crescendo et l'usine en fabriquait par "paquets de 1000"
Je vous raconterai une autre fois, l'histoire de la batterie métal de "dark" Vander.
Bonne nuit les petits
Le personnage est tout à fait charmant, disponible et n'est pas avare en anecdotes. Nous n'avons pu discuter que pendant une grosse 1/2h car il a du retourner à ses chers clients ("j'veux une peau de CC pour frapper comme une bête", "vous avez les même baguettes que le batteur de Tokyo Hotel?")
Voici donc quelques uns de ses souvenirs:
- chacun sait que la marque s'est créée autours des accessoires : pieds pour violon, clarinette, sax dans les années 20. M.Boudard était multi instrumentiste (violon, sax, clarinette) dans un grand orchestre de l'époque et avait besoin de pouvoir poser ses instruments lorsqu'il en changeait. Les premiers supports Asba étaient en bois, puis en métal. L'activité "batterie" n' a commencé que vers 1947 lorsque le directeur de conservatoire de percussions de Paris a commandé une CC destinée à récompenser le premier prix (il y avait très peu de matériel importé à l'époque)
- au plus fort de la production l'usine comptait 50 employés.
- dans les années 60, il y avait encore une grosse part d'artisanat : les mailloches étaient fabriquées par Madame Perrin à la maison, pendant que le jeune fils pesait les balais pour les appareiller ou fabriquait des cloches à l'usine pendant ses vacances
- tout était fabriqué sur place. L'usine disposait de sa propre fonderie pour les cercles et les accastillages. Ce qui explique à mon avis la qualité inégale de certaines pièces qui étaient coulées avec un alliage de zamac pas toujours de grande qualité ou bulles d'air dans le métal. C'est seulement dans les 70's, le gros boum de la marque que la production des coquilles a été "délocalisée" dans le Jura; passant d'une fabrication par coulage du métal à une fabrication par injection dans un moule (meilleure stabilité du résultat)
- tous les kits étaient assemblés (4h de main d'oeuvre) et réglés (et oui!) avant emballage et expédition. De l'artisanat je vous dis.
- les futs : comme nous le savons tous, étaient fabriqués en contre-plaqué d'okoumé. La matière brute était achetée par plaques de 6mm pour les tom et 8mm pour les GC. Les planches étaient juste trempées dans l'eau avant d'être placées dans les moules. Parfois, lorsque le temps était très sec, le bois était assoupli par un chauffage au chalumeau avant d'être mis en moule pour éviter que les fibres ne se cassent.
- le rhodoïd était fabriqué par l'usine Rhone-Poulenc d'Ivry/Seine. Il y a même eu une expérience de batterie recouverte de formica (bien plus épais) pour un kit destiné à Elvin Jones avec lequel il a joué 4 ans environ
- les tirants étaient tournés dans de l'acier doux puis chromés. Le pas était de 100 pour un diamètre de 6mm. D'après M.Perrin, ils étaient initialement à 1 fente et sont passés ensuite à 2 fentes jusqu'à la fin de la production. Date de bascule inconnue (début 70 selon lui mais j'ai un kit de 74 ou tous les tirants sont à 1 fente)
- les CC métal qui équipaient les kits "standards" avaient toutes le chanfrein en jonc de caoutchouc. Ce qui n'était pas le cas des Super Revelation (en cuivre repoussé chromé) qui ont continué à être produites pour le haut de gamme de la marque
- lors du grand succès de Martin Circus (tube "je m'éclate au Sénégal" en 72) , ASBA a fait imprimer, avec la maison de disque Vogue, 10000 sacs de plage en plastique avec "Martin Circus s'éclate avec Asba" au recto et "Martin Circus s'éclate avec Vogue" de l'autre coté. Un collector de plus à rechercher
- la pédale Asba Tempo est issue de la collaboration avec Armand Molinetti
- avec l'arrivée de la Caroline, Marc Perrin est parti faire la tournée des grands magasins de musique aux USA pour la vendre. A son premier voyage il a réussi à en placer quelques centaines. Par la suite elle fut distribuée également par Remo. Le succès de la pédale a été crescendo et l'usine en fabriquait par "paquets de 1000"
Je vous raconterai une autre fois, l'histoire de la batterie métal de "dark" Vander.
Bonne nuit les petits
- metjazz
- Porte ses flights
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- Inscription : mer. 12 nov. 2008, 08:19
- Localisation : Montpellier
- Contact :
Bonsoir,
En lisant le récit de Marc Perrin, j'ai l'impression d'entendre mon oncle raconter l'épopée des instruments "Metjazz" !
C'est tout à fait ça : une fabrication artisanale et surtout familiale, même conception des fûts et probablement même fournisseur de rhodoïd...
Quant aux peaux, Marc Perrin se souvient de leur provenance ?
En lisant le récit de Marc Perrin, j'ai l'impression d'entendre mon oncle raconter l'épopée des instruments "Metjazz" !
C'est tout à fait ça : une fabrication artisanale et surtout familiale, même conception des fûts et probablement même fournisseur de rhodoïd...
Quant aux peaux, Marc Perrin se souvient de leur provenance ?
Ah, oui, tu fais bien de me relancer, j'avais oublié ça.
Les peaux : les Dermaplastic étaient une fabrication maison (même mylar que Remo - par Dupont De Nemours). Bref des Ambassador ou Diplomat.
Le mylar transparent était sablé à la main, au pistolet, et recouvert d'une couche de peinture cellulosique blanche.
Par la suite, Remo leur a proposé de fabriquer pour eux ce qu'ils ont accepté à la réserve que le logo Asba continue à apparaitre.
Les peaux : les Dermaplastic étaient une fabrication maison (même mylar que Remo - par Dupont De Nemours). Bref des Ambassador ou Diplomat.
Le mylar transparent était sablé à la main, au pistolet, et recouvert d'une couche de peinture cellulosique blanche.
Par la suite, Remo leur a proposé de fabriquer pour eux ce qu'ils ont accepté à la réserve que le logo Asba continue à apparaitre.
- vavou
- Au bar avec les fans
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- Inscription : sam. 13 mai 2006, 08:46
- Matos : Jazzette only Sonor, Gary
j'opte pour les peaux naturelles, et les cymbales rares - Localisation : SE de la France
- Contact :
le "totalement caduque"
merci Pirla.
enfin des réponses à certaines interrogations concernant la qualité hétéroclite étonnante que présentes certaines pièces.
Et puis, merci encore car de supputations tirées d'observations, on passe à des des quasi certitudes . Grâce à l'info "à la source"
c'est bon
Le fait que le monsieur n'est aucune nostalgie, et qu'il trouve cela exotique et décalé de s'intéresser à cette firme, ne m'étonne pas.
Le "savoir faire artisana"l tombé en désuétude, c' est très répandu.
C'est aussi cette l'histoire que l'on rencontre dans le domaine de la facture des orgues mécanique.
Les chanteurs de rues, d'avenues et de boulevards, n'existant plus, les facteurs d'orgue de barbarie ont disparus avec leur "savoir faire."
Les deux ou trois générations du début 20c ont cru au progrès et aux mutations irréversibles.
donc aucun intérêt d'utiliser des procédé ancien, artisanaux,manuel, pénible et hasardeux etc..à leur yeux.
je ne t'apprends rien, l'industrie et la mécanisation, offre de une qualité moyenne bien supérieure, lors qu'il s'agit de grosse productions.
enfin...faut pas le lâcher ce M Perrin. c'est une histoire vivante.
enfin des réponses à certaines interrogations concernant la qualité hétéroclite étonnante que présentes certaines pièces.
Et puis, merci encore car de supputations tirées d'observations, on passe à des des quasi certitudes . Grâce à l'info "à la source"
c'est bon
Le fait que le monsieur n'est aucune nostalgie, et qu'il trouve cela exotique et décalé de s'intéresser à cette firme, ne m'étonne pas.
Le "savoir faire artisana"l tombé en désuétude, c' est très répandu.
C'est aussi cette l'histoire que l'on rencontre dans le domaine de la facture des orgues mécanique.
Les chanteurs de rues, d'avenues et de boulevards, n'existant plus, les facteurs d'orgue de barbarie ont disparus avec leur "savoir faire."
Les deux ou trois générations du début 20c ont cru au progrès et aux mutations irréversibles.
donc aucun intérêt d'utiliser des procédé ancien, artisanaux,manuel, pénible et hasardeux etc..à leur yeux.
je ne t'apprends rien, l'industrie et la mécanisation, offre de une qualité moyenne bien supérieure, lors qu'il s'agit de grosse productions.
enfin...faut pas le lâcher ce M Perrin. c'est une histoire vivante.
Dernière modification par vavou le dim. 10 mai 2009, 19:20, modifié 2 fois.
- chico
- En plein solo
- Messages : 1462
- Inscription : jeu. 3 juil. 2008, 19:06
- Localisation : swing
- Contact :
ASBA encore !
Bravo Pirla pour cet article riche d'informations.
Merci aussi à Monsieur Perrin qui, même en une demi heure, a su te délivrer beaucoup de détails sur l'entreprise familiale.
La drummerie va devenir la mémoire de la fabrication des batteries en France !
Merci aussi à Monsieur Perrin qui, même en une demi heure, a su te délivrer beaucoup de détails sur l'entreprise familiale.
La drummerie va devenir la mémoire de la fabrication des batteries en France !
De l'oreille au geste... Du geste à l'oreille...
http://www.jazz-band.fr
le musée virtuel des vieilles batteries sur la drummerie :
http://www.ladrummerie.com/viewtopic.php?t=17648
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- krikou
- Au bar avec les fans
- Messages : 2910
- Inscription : mer. 19 avr. 2006, 19:34
- Matos : Slingorus
- Localisation : Zone Résidentielle
- Contact :
Merci Pirla ; super-posteur!
pour Steve Arguëlles , j'adore ,j'ai partagé la scène avec lui quand il était avec Katerine.
Il avait une jazette Gretsch et une caisse Leedy toute en peaux animales
J'ai les tarifs Asba de '77 si ça vous interresse (cote ou décote ? )
pour Steve Arguëlles , j'adore ,j'ai partagé la scène avec lui quand il était avec Katerine.
Il avait une jazette Gretsch et une caisse Leedy toute en peaux animales
J'ai les tarifs Asba de '77 si ça vous interresse (cote ou décote ? )
Dernière modification par krikou le dim. 10 mai 2009, 21:30, modifié 1 fois.
- soft
- Conseil des sages
- Messages : 20072
- Inscription : ven. 18 nov. 2005, 23:00
- Localisation : à l'ouest
combien d'oeufs?
impossible , tu le sais bien: la texture des Dermiplastoc est épaisse et mousseuse comme une omelette de la mère Poulard; que la matière de départ soit du mylar à Dupont, pas de doute là dessus, ils étaient les seuls à le faire; c'est au niveau de la recuisson au micro-ondes que le clystère s'épaissitpirla a écrit :
Les peaux : les Dermaplastic étaient une fabrication maison (même mylar que Remo - par Dupont De Nemours). Bref des Ambassador ou Diplomat. .
" the surest sign that intelligent life exists elsewhere in the universe is that none of it has tried to contact us"
Derma la douce
Ca ne serait pas du au sablage ? Ils faisaient peu être ça au gros sable des carrières de l'Ile de France.